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Interventions sur "vaccin" de Marie-Louise Fort


7 interventions trouvées.

Je veux vous remercier pour la clarté et la pertinence de votre témoignage. Venant un peu plus tôt, peut-être eût-il évité bien des polémiques La communication autour de la campagne de vaccination a été importante mais les informations données étaient parfois ardues, comme en témoignent les documents distribués aux familles par les chefs d'établissements scolaires. Ne faudrait-il pas à l'avenir sérier et diversifier cette communication et, sans rien enlever à la responsabilité des parents, la rendre plus accessible ?

...ont témoigné les préfets, les représentants de l'éducation nationale, les médecins libéraux ou les pharmaciens. Quelle conclusion en avez-vous tiré en matière de communication ? En effet, les populations défavorisées n'ont pas été touchées peut-être les médias ont-ils semé le trouble et on a alimenté les inquiétudes des populations plus averties il suffisait de se rendre dans les centres de vaccination pour s'en rendre compte. Conviendrait-il d'utiliser le réseau habituel de proximité, comme vous l'avez suggéré à l'instant ? Est-il normal que les médecins aient reçu des notes provenant d'un peu partout ? Une réflexion est-elle menée afin de prévoir, demain, une communication plus pointue à l'égard des professionnels et plus simple et fiable en direction de l'ensemble de la population ?

Je suis atterrée par vos propos, qui me ramènent à une période que j'ai connue quand j'étais petite fille, au début des vaccinations antipoliomyélitiques : je me souviens des scandales que provoquaient, dans certaines écoles, les parents qui, à l'instigation de certaines personnes, venaient reprendre leurs enfants pour qu'ils ne soient pas vaccinés. Tout au long des travaux de cette commission d'enquête, et cet après-midi encore, nous avons entendu des témoignages selon lesquels les populations les plus défavorisées de ...

Notre mission ayant pour but de faire le point sur le déroulement de la campagne pour en tirer des résolutions en cas de nouvelle épidémie, j'aimerais avoir votre avis sur le rôle que pourraient jouer les réseaux de santé qui ont été écartés de la vaccination, à savoir les médecins et les pharmacies.

Vous avez procédé, dans le cadre de la médecine générale, à la vaccination habituelle de la grippe, qui a lieu tous les ans. Pensez-vous qu'il aurait été possible de procéder aux deux vaccinations en cas de besoin ? Cela n'aurait pas provoqué de dépenses supplémentaires pour la sécurité sociale.

Vous nous avez dit, monsieur, qu'on a fait endosser la responsabilité aux personnes qui se faisaient vacciner en leur faisant signer un document. Vous nous dites, madame, qu'en tant qu'étudiants en médecine de cinquième et sixième années ayant simplement une équivalence pour assurer des soins infirmiers, vous ne saviez pas trop sur quel pied danser mais, à ma connaissance, il y avait dans chaque centre des médecins diplômés, internes ou généralistes réquisitionnés. Vous vacciniez sous la responsabilité...

Je ne suis pas médecin mais nombre de praticiens de ma circonscription m'ont expliqué qu'ils ont appris un principe : on ne touche pas au système immunitaire des femmes enceintes, on ne les vaccine pas ou du moins on évite de le faire. Qu'en pensez-vous ?